Un mois après la victoire de son parti d’extrême-droite, la nouvelle Première ministre italienne a nié toute “proximité” avec le fascisme. Elle a assuré en outre que l’Italie respecterait les règles européennes.
«Je n’ai jamais eu de sympathie ou de proximité vis-à-vis des régimes antidémocratiques. Pour aucun régime, fascisme compris», a affirmé Giorgia Meloni lors de son discours de politique générale devant la Chambre des députés.