Donald Trump a exprimé son intention de prendre des mesures punitives à l’encontre de la Cour pénale internationale, qu’il accuse de mener des enquêtes illégitimes ciblant les États-Unis et Israël. Cette initiative vise à interdire aux responsables de la CPI l’accès au territoire américain.
En réponse à cette annonce, Israël a salué la position de l’administration américaine. Le soutien affiché par Israël souligne l’importance de l’alliance entre les deux pays face aux actions de la Cour pénale internationale, perçues comme hostiles.
Stéphanie Maupas, correspondante de France 24 aux Pays-Bas, a analysé cette escalade des tensions. Elle a souligné que la décision de Trump pourrait avoir des répercussions sur les relations internationales et la perception de la CPI dans le monde.
Les sanctions envisagées par le gouvernement américain incluent également des mesures financières visant à affaiblir les opérations de la Cour. Cette offensive marque un moment critique dans les relations entre Washington et les institutions judiciaires internationales.
L’administration Trump justifie ces actions en affirmant que la Cour pénale internationale outrepasse ses compétences en s’en prenant à des nations souveraines comme les États-Unis et Israël. Cette position reflète une approche protectionniste vis-à-vis de la souveraineté nationale.
