La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), saisie par les parents de deux jeunes Françaises bloquées en Syrie, à condamné hier mercredi la France à réétudier les demandes des familles de djihadistes.
« Le gouvernement prend acte de la décision de la Cour européenne des droits de l’Homme », indique le ministère français des Affaires étrangères dans une déclaration.
Il souligne à cet effet que Paris « n’a pas attendu l’arrêt de la Cour pour agir », se disant prêt à renouveler des opérations de rapatriement « chaque fois que les conditions le permettront ».