Ce mercredi soir, l’ambiance était tendue alors qu’une déclaration accusatrice était prononcée par un conseiller politique du président iranien. Il a pointé du doigt Israël et les États-Unis, les tenant pour responsables des deux attaques terroristes qui ont récemment secoué le sud de l’Iran, faisant plus de cent morts.
La réaction de Washington ne s’est pas fait attendre, les autorités américaines niant toute implication dans ces actes de violence. « Les États-Unis et Israël n’ont joué aucun rôle dans l’attentat terroriste de Kerman, en Iran », tel était le message officiel. Cependant, ces dénégations n’ont pas suffi à calmer les esprits.
Mohammad Jamshidi, s’exprimant sur une plateforme de médias sociaux, a utilisé une métaphore évocatrice pour exprimer son scepticisme face aux déclarations américaines. « Vraiment ? Un renard ne sent pas sa propre odeur », a-t-il écrit, insinuant que les accusés étaient trop impliqués pour reconnaître leur propre culpabilité.
La gravité de l’accusation a été renforcée par l’affirmation directe de la complicité des régimes américain et israélien. « La responsabilité de ce crime incombe aux régimes américain et sioniste », a déclaré Jamshidi, ne laissant aucune place au doute quant à son point de vue.
Il a ensuite poursuivi en définissant le terrorisme comme un simple outil, suggérant que derrière ces actes barbares se cachent des stratégies politiques plus larges et plus sombres. Selon lui, ces attaques n’étaient pas des incidents isolés, mais faisaient partie d’un schéma d’agression et de manipulation orchestré.
Pour conclure, Jamshidi a clairement exprimé la position de l’Iran face à ces événements tragiques, imputant la faute à ses ennemis de longue date et mettant en lumière la tension constante dans les relations internationales.
Ces allégations marquent un nouvel épisode dans le conflit perpétuel entre l’Iran, les États-Unis et Israël, soulignant la complexité et la volatilité de la situation géopolitique au Moyen-Orient.
