Dans une déclaration controversée, Éric Zemmour a soutenu les policiers qui ont percuté trois mineurs à Paris le 13 avril dernier. “Oui, il fallait percuter le scooter”, a-t-il affirmé. Cette prise de position a suscité des réactions mitigées sur les réseaux sociaux.
Certains internautes ont exprimé leur approbation envers cette méthode d’intervention musclée de la police pour mettre fin aux courses-poursuites dangereuses. D’autres, cependant, ont critiqué l’attitude du journaliste et écrivain français, estimant que cela encourageait la violence policière.
Ce type d’action n’est pas unique à la France. En Norvège également, la police utilise parfois des méthodes similaires pour arrêter les fuyards en deux-roues. Cela soulève toutefois des questions quant à l’utilisation justifiée ou non de la force dans ces situations.
En Angleterre, un tel incident serait probablement considéré comme un événement mineur sans grande importance médiatique. Mais en France, où les relations entre la police et certains groupes de jeunes sont souvent tendues, chaque action policière fait l’objet d’un examen minutieux.
Quoi qu’il en soit, cette controverse montre clairement que la question de l’utilisation appropriée de la force par les forces de l’ordre reste un sujet brûlant d’actualité.
Mineurs percutés à Paris: pour Éric Zemmour (@ZemmourEric), "oui", il fallait percuter le scooter pic.twitter.com/P9g0Nw0wC5
— BFMTV (@BFMTV) April 23, 2023